Le Temple, Le Château, L’église du XII siècle de Saint Sébastien de Malenque, <br />
Les Mines de Plomb Argentifère .<br />
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Le Temple
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Le premier temple de la commune fut rasé à la révocation de l’Edit de Nantes. C’est après la longue période de troubles et la guerre des Camisards (1702-1704) que par délibération du 10 octobre 1837 le conseil municipal engage la construction d’un nouveau temple.
Situé au hameau du Ranc, on y accède par un ancien pont qui enjambe le ruisseau de l’Amous.
Devenu propriété de la commune en 2004, il accueillera bientôt soirées musicales, conférences et expositions. |
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Le Château
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C’est au début du XVI ième siècle, qu’est construit le château de Saint Sébastien, avec ses dépendances et sa chapelle, qui servira d’église paroissiale à partir de 1707. Le dernier seigneur noble, Jacques de Rozel de Bossuges meurt sans enfant et lègue la seigneurie aux hospices d’Alès en 1746. Ceux-ci garderont le château et les revenus importants qu’il procure jusqu’en 1848. Puis il sera vendu à Scipion Gautier, héritier d’une lignée de potiers d’Anduze, et conservé dans la famille jusqu’aux actuels propriétaires..
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L’église du XII siècle
de Saint Sébastien de Malenquee
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Aujourd’hui ruines de l’Eglaîsaco.
Eglise romane dont on peut voir encore les fragiles vestiges romans à partir d’un chemin de terre qui part en dessous du hameau de La Bastide.
L’église fut restaurée en son temps avec les pierres provenant du premier temple construit dans la commune, rasé à la révocation de l'Edit de Nantes.
Attention bien privé, accès déconseillé. A découvrir du bord du sentier.
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Mines de Plomb Argentifère
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Gisement exploité à plusieurs reprises avant 1740. 1833 : concession au sieur Ricard qui recrute successivement des associés jusqu’à la création en 1862 de la Société des Mines de Plomb Argentifère de Carnoulès. Dissolution et multiples changements de propriétaires de 1884 à 1906 où est constituée la S.A. des Mines de Saint-Sébastien d' Aigrefeuille. 1918 : arrêt. 1926 : reprise avec constructions nouvelles mais l’effondrement des cours du plomb en 1931 entraîne la faillite, l’arrêt de l’exploitation en 1934 puis la vente des bâtiments et le renoncement de la
concession en 1936. 1953 : permis d’exploitation à la société Pennaroya. 1962 : cessation de toute activité minière, désarmement immédiat puis démolition de la plupart des bâtiments. 1980 à 1985 problèmes graves de pollution par les eaux ravinant les déchets stockés derrière un barrage. |
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